L'HOMME QUI HAÏSSAIT LE BIEN
de Sébastien Bohler
Résumé
4e de couverture...
Le crime était une maladie. On a découvert le traitement.
Qu’y a-t-il dans la tête de Franck Corsa, le psychopathe le plus dangereux de France ?
Pour la première fois, grâce aux progrès fulgurants de l’imagerie cérébrale, quelques scientifiques peuvent le savoir. Ils proposent alors un marché au prisonnier : effacer les causes du mal dans son cerveau par une opération chirurgicale jamais tentée à ce jour.
Lorsque Corsa se réveille, il n’est plus le même homme. Bonté, compassion, douleur : toute une gamme de sentiments humains lui est brusquement révélée.
Seul problème : être un homme bon ne faisait pas partie de ses plans.
Avis
Il est important , tout d'abord, de savoir que ce roman est le second tome d'une série, initiée en 2015 par le roman Neuroland. Il aurait été judicieux de l'indiquer en couverture ou en 4e de couverture car même si on retombe facilement sur nos pieds, on est assez vite largué et frustré de ne pas savoir ce que les personnages ont vécu précédemment, même si on en a une petite esquisse...
Ce thriller politico-scientifique est haletant et intense. La 4e de couverture ne lui rend pas justice car ce qui y est rapporté n'est qu'une infime partie de ce qui s'y déroule.
Un trafic d'embryons au Nicaragua, des magouilles au plus haut niveau de l'Etat, du terrorisme, un programme scientifique visant à réinsérer les pires psychopathes en leur donnant une conscience, une chasse à l'homme à travers l'Europe...
L'homme qui haïssait le bien comporte beaucoup de thèmes forts et intéressants et même si certains points bénéficient d'une suspension d'incrédulité, Sébastien Bohler nous livre un thriller hypnotique avec des scènes au Nicaragua extrêmement dures . L'auteur nous expose des thèmes très prenants dont certains sur 416 pages ne sont malheureusement que survolés.
Une très bonne lecture au demeurant avec plusieurs sujets qui collent au plus près de notre actualité, ce qui rend encore plus glaçant ce thriller et une fin qui laisse présager d'un troisième tome car nous n'obtenons pas toutes les réponses à nos questions.
Je remercie Netgalley et les éditions Robert Laffont pour m'avoir permis de lire ce livre.
L'homme qui haïssait le bien
de Sébastien Bohler
Sorti le 20 avril 2017
chez Robert Laffont
416 pages
Il est important , tout d'abord, de savoir que ce roman est le second tome d'une série, initiée en 2015 par le roman Neuroland. Il aurait été judicieux de l'indiquer en couverture ou en 4e de couverture car même si on retombe facilement sur nos pieds, on est assez vite largué et frustré de ne pas savoir ce que les personnages ont vécu précédemment, même si on en a une petite esquisse...
Ce thriller politico-scientifique est haletant et intense. La 4e de couverture ne lui rend pas justice car ce qui y est rapporté n'est qu'une infime partie de ce qui s'y déroule.
Un trafic d'embryons au Nicaragua, des magouilles au plus haut niveau de l'Etat, du terrorisme, un programme scientifique visant à réinsérer les pires psychopathes en leur donnant une conscience, une chasse à l'homme à travers l'Europe...
L'homme qui haïssait le bien comporte beaucoup de thèmes forts et intéressants et même si certains points bénéficient d'une suspension d'incrédulité, Sébastien Bohler nous livre un thriller hypnotique avec des scènes au Nicaragua extrêmement dures . L'auteur nous expose des thèmes très prenants dont certains sur 416 pages ne sont malheureusement que survolés.
Une très bonne lecture au demeurant avec plusieurs sujets qui collent au plus près de notre actualité, ce qui rend encore plus glaçant ce thriller et une fin qui laisse présager d'un troisième tome car nous n'obtenons pas toutes les réponses à nos questions.
Je remercie Netgalley et les éditions Robert Laffont pour m'avoir permis de lire ce livre.
L'homme qui haïssait le bien
de Sébastien Bohler
Sorti le 20 avril 2017
chez Robert Laffont
416 pages
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